Le dangereux mal bactériologique résident a 20 ans

dead

Vous voilà mort, comme ça vous ne prendrez pas ce billet trop au sérieux

Eh oui les petits cervelets juteux du dîner : Si l’on se réfère au calendrier japonais, vous savez celui illustré avec des lolis en tenue de soubrette qui prédit un futur plein de robots samouraï de 50 mètres fightant des raptor ninja sur fond de J-pop; Eh bien selon ce dernier, cela fait tout juste 20 ans aujourd’hui que l’on roxxe du zombie gémissant à coup de fusil à pompe tout en soignant les piqûres de tronçonneuse à coup d’herbe verte, rouge, bleue, jaune… Bref, c’est les vingt ans de la saga mal résident Resident Evil 🙂

re4fun

I’m just a fan, so what ?

Bon je dois vous dire que les anniversaires toussa c’est pas ma tasse de chicorée, je vois pas ce que je pourrais vous apprendre qui n’ait déjà été écrit à propos de Bio Hazard :

Dukes of Hazzard (CBS) 1979 - 1985 Shown clockwise from upper left: Catherine Bach (as Daisy Duke), John Schneider (as Bo Duke), Tom Wopat (as Luke Duke)

Et ça c’est the Dukes of Hazzard, ça n’a rien à voir…

Vous voulez savoir quoi :

  • Que le jeu original fût très inspiré du grand classique du cinéma d’horreur « La nuit des morts vivants » sorti en 1968 ?
  • Qu’un employé de chez Capcom* s’est levé un matin en se disant « Tiens, je trouve que ‘mal résident’ sonnerait mieux comme titre que ‘danger bactériologique’. Je vais en causer au marketing, ils vont adorer ça sent l’avancement » ?
  • Que contrairement à une légende encore bien ancrée, s’il a bien aidé à démocratiser le modèle du survival horror, il n’est pas le premier modèle du genre** ?
  • Que bien qu’elle soit controversée, notamment du fait de l’éloignement de la série de l’aspect survie au profit de l’action pure limite bête et méchante, elle n’en reste pas moins appréciée et à forcément aidé au développement du thème de zombie amateur de ceeeerveau et de flics : « Envoyez plus de flics » 😀
herbe

Aaaaaah les herbes verte, source inépuisable de meme…

Il est vrai que niveau culture populaire, on est vachement servis question zombies ces dernières années. Pas vraiment étonnant, aucune association ne viendra jamais se plaindre que vous les explosiez par semi-remorques entiers. Une culture populaire ces derniers temps bien peu avare de productions tantôt époustouflantes (The walking dead), plus triviale (Plants vs zombies) et parfois même quelque peu fantaisiste :

Ne me demandez pas où ni comment j’ai trouvé ce truc 😉

Bonus :

Papy grenier nous fait marrer :

Et un petit guide de survie face aux vrais zombies croisés tous les jours dans la vraie vie :

vegan_zombie_survive_kit

Merci PETA

 

*Sans doute le même qui a décidé « M’enfin ‘Gouki’ ça fait fiottard de chez travelo. Que pensez-vous de ‘Akuma’ ? Ca sonne plus viril hein ? Pis avec sa coupe de cheveux on est pas aidés » ou encore « Alors voilà Bison c’est Balrog, Balrog c’est Vega, Vega c’est Bison et Sagat c’est Sagat, c’est facile non ? »
**Eh oui Kevin, le premier du genre c’était Alone in the Dark, sorti 4 ans plus tôt et, la fraise sur la tartelette… C’est du made in France : Cocorico !!!
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