Greugneugneu les Végétarés.
La météo est pas vraiment sympa avec nous sur l’Est en ce moment 🙁
Il faut savoir profiter d’une petite éclaircie salvatrice quand elle se présente. C’est ce que j’ai voulu faire après avoir dûment révisé le brave destrier qui me sert de monture. Punaise vous auriez vu la tronche de mes freins…
Alors zou on y go. Bien que les récentes averses ont quelque peu inondé la piste cyclable et créé par endroits de viles souricières à ciel ouvert sous la forme d’innocentes flaques de boues manquant de peu envoyer ma constitution carbonée valdinguer dans le cours d’eau tout proche :
Mais il en faut plus pour entamer un moral qui remonte enfin. La promenade pépère continue bon train :
Quelques petites haltes jonchées de petites surprises :
Bref ça part plutôt bien on se dit que la partition ne souffrira d’aucune fausse note. Puis au détour d’un croisement, le drame :
De biens jolis déchets qui faisaient moins tâche avec leur propriétaire homo sapiens à proximité, vous saisissez le double sens ? Sans doute « amoureux » de la nature, probablement pêcheur à la petite semaine de son état, et c’est un pléonasme car il y avait des vers de terre dans la boîte 👿 👿
Voyez le topo : Pas de poubelles à 6km alentours, une éducation qui vous met ce genre de comportement en aversion totale et vous pousse instinctivement à remédier à la situation et pas un sac pour glisser ces horreurs de beauf…
Vous faites quoi ?
- Vous jurez, quand bien même ça sert à rien et ça perturbe les petits zoziaux.
- Vous laissez en l’état, t’faconsépavotproblèmeépizavéotchoseafèr…
- Vous prenez une photo du bousin, les prenez d’une main et faites 6km jusqu’à une poubelle.
Y’a des coups où je me dit qu’un camion poubelle me conviendrait mieux qu’un malheureux vtt. Ma bonne conscience me perdra un jour, sans doute…
Bon c’est pas la première ni la dernière fois que ça arrive. Il y en a même qui en font infiniment plus que moi…
N’empêche, il y a des fois où… Pfff… Laissez tomber…