Si je puis dire ainsi
Salut les p’tits n’amis.
Cela fait un petit moment que je voulais poster ce billet, et j’ai enfin trouvé à la fois le temps et la motivation pour le faire.
Depuis quelques temps, une suite d’événements pénibles se succèdent IRL à mon chevet : Je traverse une période plutôt délicate sur le plan personnel, avec des implications tant physiques que psychiques, et bon nombre de mes activité en pâtissent.
Le blog, notamment, en est une des plus concrètes : Si mes lecteurs savaient le nombre de fois où j’ai rédigé un texte d’explication au brouillon avant de l’abandonner et d’en recommencer un plus tard. Ou le nombre de trucs très sympa que je regrette de ne pas avoir pu parler à cause de ces satanés soucis…
J’aurais vraiment dû passer et juste dire « Ça va pas bien je fais une pause à plus bisou baveux » pourrait-on me reprocher. Sauf que c’est un poil plus complexe, genre quand je passe une semaine entière sans toucher un ordi. Bref, c’est galère…
Mais ça finira par aller mieux !!!
« Alors quoi Monty ? Tu vas nous annoncer que tu laisses tomber le blog ? » Scande la foule en délire (Tandis que les plus fidèles groupies s’arrachent déjà les vêtements en guise de démonstration de leur dévotion)
Mais non les cocos, il n’est absolument pas question que je laisse tomber mon petit coin d’Internet rien qu’à moi.
Tout d’abord, mes soucis n’ont aucune incidence sur ma volonté de produire du contenu sur un blog. J’ai toujours mille idées qu’il me tarde de partager avec tout le monde, j’en ai même de toutes fraîches qui me démangent du clavier. C’est bien le loisir en tant qu’activité qui en pâtit, la motivation reste intacte.
Ensuite, je suis toujours quelqu’un de très optimiste, certains vous diront trop : Rien ne se fige avec le temps, et les tempêtes les plus violentes finissent inévitablement par se calmer. Donc même si l’heure est à l’ouragan, les accalmies se profilent à l’horizon et je les vois. Dans combien de temps je ne sais pas, mais je suis sur le bon cap. Patience donc.
Et puis on vient de fêter les deux ans du blog, je peux pas laisser tomber maintenant. Imaginez que j’avais rédigé 3 versions d’un billet spécial anniversaire qui ne seront jamais publiés, je ne lâche pourtant rien du morceau pour autant…
Allez pour finir, je vous partage ma découverte d’une sympathique chaîne Youtube de derrière les fagots sur le thème « homo sapiens n’est qu’un gros bâtard de merde » : Horror humanum est.
Bises sur la fesse gauche 🙂
« Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans jamais perdre son enthousiasme » Winston Churchill